_ réveillez vous !
Ce cris me réveilla... Ma tête me faisait mal, comme le reste de mon corps. Que m'était-il arrivé ? Ou étais-je ?
J'ai regardé autour de moi : je me trouvais dans une cave, très sombre, dans laquelle s'entassaient de nombreuses personnes, un peu comme moi... Homme et femme étaient mélangés, portant tous une tenue moulante et qui, pour certain, était couverte de sang.
Je sentis un frisson parcourir mon échine... Cet endroit semblait sortit d'un de mes pires cauchemars, mais ou.....
Je fus interrompue par une douleur au flanc : ne me voyant pas levée, un homme étrange m'avait donné un puissant coup de pied. Je me suis levée en vitesse, tout en observant ce curieux personnage. Il était très grand, très maigre aussi. Il portait une blouse blanche, rougie par le sang, noircie par la crasse et les moisissures. Il portai de grosses et vieilles bottes d'une couleur indéfinissable (probablement due à l'usure). Ces cheveux, brun, étaient parsemés de cheveux blancs hirsute. Mais le pire, je crois, étaient ces yeux : verts, jaunes, et gris a certains endroit, le blanc de son œil était jauni et infestés de vaisseaux sanguin comme des larves rouges... La vue de cet être effrayant me dit reculer, et marcher dans une matière visqueuse... Je n'osais même pas regarder ce que c'était. J'étais terrorisée....
Il me regarda, enfin, je dirais plutôt qu'il me sonda, m'examina... Son regard faisait sur moi l'effet d'une lame tranchant mes entrailles...
_ les jeux commencent dans dix minutes ! Soyez a l'heure !
Il s'exprimait avec un accent guttural... Comme les méchants vampires dans les films.
Lorsqu'il s'éloigna enfin, je me suis sentie plus légère, libérée !
J'ai jeté un coup d'œil autour de moi : tous étaient levé et se dirigeaient vers une petite porte grillagée... J'aurais voulu leur demander ou ils allaient, qui était cet homme, et quel était ce "jeu" dont il parlait... J'aurais posé la question si je n'avais pas vu sur leur visage, cette mine affreuse, morne et faible.
Ce que j'allais trouver de l'autre côté de cette grille ne présageait rien de bon...
J'ai suivis les autres jusqu'à un couloir ou se déversait une foule d'êtres mornes. Comme des rivières empoisonnée qui se jettent dans un fleuve comme le Styx.... Enfin, j'avais plutôt l'impression d'être un mouton se dirigeant vers l'abattoir. Vainement, je cherchais dans la masse un visage familier, mais tous m'étaient étrangers... Comment suis-je arrivée ici ? Où étais-je avant ? ... D'ailleurs, qui suis-je ? Je ne me souviens de rien avant mon réveil...
Le couloir s'élargit, puis nous arrivâmes dans une pièce circulaire avec une dizaine de portes. Au dessus de chacune d'elles se trouvait une inscription dégoulinante et rougeâtre qui indiquaient : "salle de balles", "dead game", "potences", "salle de torture", "fosse commune".... Et j'en passe. Chaque nom me donnait la chair de poule... De nombreuses personnes se dirigeaient vers les portes de gauche. Non, en fait, tous allaient dans cette direction. D'un côté, j'étais rassurée de m'éloigner de la "fosse commune" et de la "salle de torture", mais d'un autre côté, je me demandais ce qui m'attendait.
Lorsque toutes les personnes devant moi avaient franchi une des portes, et que je me retrouvai, seule, face a cet étrange choix, un homme, une armoire a glace en blouse blanche, autant couvert de crasse que de cicatrices, me pris a part et m'emmena plus loin. Nous passâmes une petite porte, moins imposante que les autres et cachée par une statue représentant un être infâme : un homme avec des lames a la place de ses mains, et un sourire carnassier. Après avoir gravit un escalier abrupte, nous traversâmes un couloir éclairé par une lumière verdâtre, d'ambiance lugubre, remplit de statues grandeur nature représentant des êtres humains se tordant de douleur. Ma peur grandissant, ma respiration se faisait plus saccadée, mon cœur s'affolait... L'homme s'arrêta, face a une porte en bois, un crucifix a l'envers faisait office de heurtoir. L'homme frappa, puis, sans attendre de réponse, ouvrit la porte, me poussa a l'intérieur et referma la porte. Face a moi se révéla la scène la plus aberrante que j'ai vu depuis mon arrivée ici : un homme, la face a demi brûlée, se tenait sur un "fauteuil" fait d'êtres gémissants et complètement dévêtus, tordus, les membres entremêlés de façon obscène...
Dégoûtée, j'ai détourné les yeux. Dans cette autre direction, j'ai vu un enfant, une dizaine d'années maximum, pieds et mains liées, soulevant difficilement un plateau d'objets métallique dont je ne compris pas l'utilité.
_ Bienvenu, Jam ! Je t'attendais ! Bienvenu dans mon humble demeure !
Mon attention se porta vers l'homme au visage a moitié brûlé : il était lui aussi vêtu d'une blouse, mais celle-ci semblait faite de différentes pièces de cuire de couleur peau. Sur la partie intacte de son visage, il portait des cheveux bruns, courts, avec une mèche mi-longue qui cachait son œil. Du côté brûlé, son crâne était délimité par une plaque métallique et son œil était blanc et sans vie. Il semblait calme, mais cette sérénités lugubre cachait quelque chose, j'en étais sûre !
_ Que penses tu de ma maison ? N'est ce pas charmant ?
Sa voix était forte et posée, ce qui contrastait avec ses propos : je n'entendais pas la moindre trace d'ironie dans sa voix...
J'étais sur le point de répondre que c'était lugubre, effrayant, et que, s'il voulait de la visite, il devrait changer la décoration... Soudain, il réagit de manière étrange et effrayante : il se mît a rire, d'un rire fou, de psychopathe tout en étant, a mon avis, pris de spasmes. Un démon ! C'était comme s'il était possédé ! Ça ne dura que quelques instants, mais j'avais l'impression que ça avait duré bien plus longtemps.... Il se reprit et ajouta :
_ Bien entendu, tu te sentiras bientôt comme chez toi, ici, Jam !
Il me souriait, du moins, c'est ce qu'il essayait de faire avec sa face mutilée. Je frissonnai, et j'ai voulu reculer mais quelque chose m'en empêcha. Je me retournai pour voir le jeune garçon, un sourire vide aux lèvres. Il m'empêchait de passer !
_ Voyons, Jam, n'ait pas peur, dit l'homme en blouse de cuir, les jeux n'ont pas encore commencé pour toi !
Les jeux ?! Encore ces jeux ! Il se leva et s'approcha de moi. Je ne pouvais pas reculer. Il se remis a rire, à agiter la tête et dit, d'une voix aiguë, rocailleuse et saccadée :
_ Attrapez la ! (Il se calma) je dois la préparer aux jeux !
Ses changements brusques et imprévisibles me laissaient perplexe. Des mains m'attrapèrent et m'immobilisèrent : il s'agissait des êtres déshumanisés que ce psychopathe avait transformé en fauteuil. J'essayais de m'enfuir, je me débattais, mais c'était sans compter leur force et leur nombre. J'étais faite comme un rat !
L'homme au visage a moitié brûlé était face a moi, l'enfant avec son plateau le rejoignit aussi vit qu'il le pouvait. Avec effrois, j'avisa le contenu de ce plateau : scalpel, marteau, clou et plein d'autres... Trucs, dont j'ignorais, autant l'existence que l'utilisation... Un des hommes dénudé immobilisa ma tête, et la souleva, laissant vulnérable ma jugulaire... Il allait me trancher la gorge ! J'allais mourir !
L'homme sortit un scalpel et, d'une main experte (du moins je l'espère, comme cela, je ne souffrirais pas trop) l'approcha de mon menton. Soudainement et de manière complètement aléatoire, il se mît a rire, et a agiter la main tenant l'objet tranchant. Un message de douleur provenant de ma pommette me fit vaciller... Du sang, chaud, coula le long de ma joue. Lorsqu'il le vit, il devint encore plus fou, répéta "du sang" plusieurs fois et, pendant qu'il s'agitait... Lécha le sang... Ce contact avec sa langue me fit frissonner d'effrois... Je me retrouvais seule face a un homme, et psychopathe, et pervers ! Il allait me découper en rondelles et me violer, et j'ignorais dans quel ordre il le ferait.
Je pleurais, je criais, je me débattais, vainement... Mes geôliers ne me laissaient pas bouger d'un millimètre...
Lorsque ce pervers Psychopathe se calma, il me souris et me dit :
_ détends toi, Jam, je ne te veux aucun mal, laisse toi faire.
Plus facile a dire qu'à faire lorsque qu'un fou manie un scalpel aiguisé a quelques centimètres seulement de mon visage.
Il entailla la peau de mon menton, et.... C'est insupportable ! Non ! Il détacha la peau du muscle de ma mâchoire... Il me dissèque vivante en fait ! Plusieurs fois, il fit des geste brusques, perdant le contrôle et me blessant d'avantage. Le bas du visage en sang et a vifs, chaque instant me torturait...
Lorsqu'il eut fini d'arracher la peau de ma mâchoire inférieure, il caressa les muscles mis a nue, m'arrachant a nouveau un cri.
_ La souffrance, quelle merveille ! Tu ne trouve pas, Jam ?
Derrière la barrière de larmes, j'apercevait son œil : excité a la vue de ma souffrance et du sang. Il tendis la main vers le plateau, et attrapa un bout de métal...
_ Tu verras, ce sera amusant (puis, il se mît a rire et, d'une voix aiguë et saccadée) Crie a m'en faire saigner les oreilles ! Se sera ton premier jeu ! (Il se re-calma) Tu es prête, Jam ?
Quoi ?! Pas question ! Que... Que va-t'il me faire ?
Il s'éloigna, avec l'objet métallique, et s'approcha d'un poêle, que je n'avais pas remarqué du fait de sa petite taille, et tint la partie métallique au dessus.
Qu'allait-il faire ? Comme si je n'avais pas suffisamment souffert ! Lorsqu'il revint, l'objet métallique a main nue. Il sourit et, brusquement, plaça la ferraille BRÛLANTE sous mon menton, la ou la peau me faisait défaut ! Vous n'imaginez pas qu'une telle souffrance puisse arriver ! Je hurlais, je pleurais, je n'avais qu'une envie : mourir ! Maintenant ! Sans aucune autre souffrance. Je voulais périr de ce coup !
Mais le sort, autant que cet homme, n'en avait pas fini avec moi.
_Tu comprends, Jam, ce n'est pas que je n'ai pas le choix, c'est que j'aime ça !
Alors la, je suis choquée ! Et il espère que je le comprenne ?! Il est fou ! Complètement !
_ Accroche toi, murmura une petite voix : le jeune esclave. C'est la dernière épreuve...
Épreuve ? Comment ça ? Je ne pouvais plus parler, la douleur était trop forte... Je ne vis pas ce que l'homme prit dans sa main... Et, a la première douleur me transperçant la mâchoire, je perdis connaissances...
Ce cris me réveilla... Ma tête me faisait mal, comme le reste de mon corps. Que m'était-il arrivé ? Ou étais-je ?
J'ai regardé autour de moi : je me trouvais dans une cave, très sombre, dans laquelle s'entassaient de nombreuses personnes, un peu comme moi... Homme et femme étaient mélangés, portant tous une tenue moulante et qui, pour certain, était couverte de sang.
Je sentis un frisson parcourir mon échine... Cet endroit semblait sortit d'un de mes pires cauchemars, mais ou.....
Je fus interrompue par une douleur au flanc : ne me voyant pas levée, un homme étrange m'avait donné un puissant coup de pied. Je me suis levée en vitesse, tout en observant ce curieux personnage. Il était très grand, très maigre aussi. Il portait une blouse blanche, rougie par le sang, noircie par la crasse et les moisissures. Il portai de grosses et vieilles bottes d'une couleur indéfinissable (probablement due à l'usure). Ces cheveux, brun, étaient parsemés de cheveux blancs hirsute. Mais le pire, je crois, étaient ces yeux : verts, jaunes, et gris a certains endroit, le blanc de son œil était jauni et infestés de vaisseaux sanguin comme des larves rouges... La vue de cet être effrayant me dit reculer, et marcher dans une matière visqueuse... Je n'osais même pas regarder ce que c'était. J'étais terrorisée....
Il me regarda, enfin, je dirais plutôt qu'il me sonda, m'examina... Son regard faisait sur moi l'effet d'une lame tranchant mes entrailles...
_ les jeux commencent dans dix minutes ! Soyez a l'heure !
Il s'exprimait avec un accent guttural... Comme les méchants vampires dans les films.
Lorsqu'il s'éloigna enfin, je me suis sentie plus légère, libérée !
J'ai jeté un coup d'œil autour de moi : tous étaient levé et se dirigeaient vers une petite porte grillagée... J'aurais voulu leur demander ou ils allaient, qui était cet homme, et quel était ce "jeu" dont il parlait... J'aurais posé la question si je n'avais pas vu sur leur visage, cette mine affreuse, morne et faible.
Ce que j'allais trouver de l'autre côté de cette grille ne présageait rien de bon...
J'ai suivis les autres jusqu'à un couloir ou se déversait une foule d'êtres mornes. Comme des rivières empoisonnée qui se jettent dans un fleuve comme le Styx.... Enfin, j'avais plutôt l'impression d'être un mouton se dirigeant vers l'abattoir. Vainement, je cherchais dans la masse un visage familier, mais tous m'étaient étrangers... Comment suis-je arrivée ici ? Où étais-je avant ? ... D'ailleurs, qui suis-je ? Je ne me souviens de rien avant mon réveil...
Le couloir s'élargit, puis nous arrivâmes dans une pièce circulaire avec une dizaine de portes. Au dessus de chacune d'elles se trouvait une inscription dégoulinante et rougeâtre qui indiquaient : "salle de balles", "dead game", "potences", "salle de torture", "fosse commune".... Et j'en passe. Chaque nom me donnait la chair de poule... De nombreuses personnes se dirigeaient vers les portes de gauche. Non, en fait, tous allaient dans cette direction. D'un côté, j'étais rassurée de m'éloigner de la "fosse commune" et de la "salle de torture", mais d'un autre côté, je me demandais ce qui m'attendait.
Lorsque toutes les personnes devant moi avaient franchi une des portes, et que je me retrouvai, seule, face a cet étrange choix, un homme, une armoire a glace en blouse blanche, autant couvert de crasse que de cicatrices, me pris a part et m'emmena plus loin. Nous passâmes une petite porte, moins imposante que les autres et cachée par une statue représentant un être infâme : un homme avec des lames a la place de ses mains, et un sourire carnassier. Après avoir gravit un escalier abrupte, nous traversâmes un couloir éclairé par une lumière verdâtre, d'ambiance lugubre, remplit de statues grandeur nature représentant des êtres humains se tordant de douleur. Ma peur grandissant, ma respiration se faisait plus saccadée, mon cœur s'affolait... L'homme s'arrêta, face a une porte en bois, un crucifix a l'envers faisait office de heurtoir. L'homme frappa, puis, sans attendre de réponse, ouvrit la porte, me poussa a l'intérieur et referma la porte. Face a moi se révéla la scène la plus aberrante que j'ai vu depuis mon arrivée ici : un homme, la face a demi brûlée, se tenait sur un "fauteuil" fait d'êtres gémissants et complètement dévêtus, tordus, les membres entremêlés de façon obscène...
Dégoûtée, j'ai détourné les yeux. Dans cette autre direction, j'ai vu un enfant, une dizaine d'années maximum, pieds et mains liées, soulevant difficilement un plateau d'objets métallique dont je ne compris pas l'utilité.
_ Bienvenu, Jam ! Je t'attendais ! Bienvenu dans mon humble demeure !
Mon attention se porta vers l'homme au visage a moitié brûlé : il était lui aussi vêtu d'une blouse, mais celle-ci semblait faite de différentes pièces de cuire de couleur peau. Sur la partie intacte de son visage, il portait des cheveux bruns, courts, avec une mèche mi-longue qui cachait son œil. Du côté brûlé, son crâne était délimité par une plaque métallique et son œil était blanc et sans vie. Il semblait calme, mais cette sérénités lugubre cachait quelque chose, j'en étais sûre !
_ Que penses tu de ma maison ? N'est ce pas charmant ?
Sa voix était forte et posée, ce qui contrastait avec ses propos : je n'entendais pas la moindre trace d'ironie dans sa voix...
J'étais sur le point de répondre que c'était lugubre, effrayant, et que, s'il voulait de la visite, il devrait changer la décoration... Soudain, il réagit de manière étrange et effrayante : il se mît a rire, d'un rire fou, de psychopathe tout en étant, a mon avis, pris de spasmes. Un démon ! C'était comme s'il était possédé ! Ça ne dura que quelques instants, mais j'avais l'impression que ça avait duré bien plus longtemps.... Il se reprit et ajouta :
_ Bien entendu, tu te sentiras bientôt comme chez toi, ici, Jam !
Il me souriait, du moins, c'est ce qu'il essayait de faire avec sa face mutilée. Je frissonnai, et j'ai voulu reculer mais quelque chose m'en empêcha. Je me retournai pour voir le jeune garçon, un sourire vide aux lèvres. Il m'empêchait de passer !
_ Voyons, Jam, n'ait pas peur, dit l'homme en blouse de cuir, les jeux n'ont pas encore commencé pour toi !
Les jeux ?! Encore ces jeux ! Il se leva et s'approcha de moi. Je ne pouvais pas reculer. Il se remis a rire, à agiter la tête et dit, d'une voix aiguë, rocailleuse et saccadée :
_ Attrapez la ! (Il se calma) je dois la préparer aux jeux !
Ses changements brusques et imprévisibles me laissaient perplexe. Des mains m'attrapèrent et m'immobilisèrent : il s'agissait des êtres déshumanisés que ce psychopathe avait transformé en fauteuil. J'essayais de m'enfuir, je me débattais, mais c'était sans compter leur force et leur nombre. J'étais faite comme un rat !
L'homme au visage a moitié brûlé était face a moi, l'enfant avec son plateau le rejoignit aussi vit qu'il le pouvait. Avec effrois, j'avisa le contenu de ce plateau : scalpel, marteau, clou et plein d'autres... Trucs, dont j'ignorais, autant l'existence que l'utilisation... Un des hommes dénudé immobilisa ma tête, et la souleva, laissant vulnérable ma jugulaire... Il allait me trancher la gorge ! J'allais mourir !
L'homme sortit un scalpel et, d'une main experte (du moins je l'espère, comme cela, je ne souffrirais pas trop) l'approcha de mon menton. Soudainement et de manière complètement aléatoire, il se mît a rire, et a agiter la main tenant l'objet tranchant. Un message de douleur provenant de ma pommette me fit vaciller... Du sang, chaud, coula le long de ma joue. Lorsqu'il le vit, il devint encore plus fou, répéta "du sang" plusieurs fois et, pendant qu'il s'agitait... Lécha le sang... Ce contact avec sa langue me fit frissonner d'effrois... Je me retrouvais seule face a un homme, et psychopathe, et pervers ! Il allait me découper en rondelles et me violer, et j'ignorais dans quel ordre il le ferait.
Je pleurais, je criais, je me débattais, vainement... Mes geôliers ne me laissaient pas bouger d'un millimètre...
Lorsque ce pervers Psychopathe se calma, il me souris et me dit :
_ détends toi, Jam, je ne te veux aucun mal, laisse toi faire.
Plus facile a dire qu'à faire lorsque qu'un fou manie un scalpel aiguisé a quelques centimètres seulement de mon visage.
Il entailla la peau de mon menton, et.... C'est insupportable ! Non ! Il détacha la peau du muscle de ma mâchoire... Il me dissèque vivante en fait ! Plusieurs fois, il fit des geste brusques, perdant le contrôle et me blessant d'avantage. Le bas du visage en sang et a vifs, chaque instant me torturait...
Lorsqu'il eut fini d'arracher la peau de ma mâchoire inférieure, il caressa les muscles mis a nue, m'arrachant a nouveau un cri.
_ La souffrance, quelle merveille ! Tu ne trouve pas, Jam ?
Derrière la barrière de larmes, j'apercevait son œil : excité a la vue de ma souffrance et du sang. Il tendis la main vers le plateau, et attrapa un bout de métal...
_ Tu verras, ce sera amusant (puis, il se mît a rire et, d'une voix aiguë et saccadée) Crie a m'en faire saigner les oreilles ! Se sera ton premier jeu ! (Il se re-calma) Tu es prête, Jam ?
Quoi ?! Pas question ! Que... Que va-t'il me faire ?
Il s'éloigna, avec l'objet métallique, et s'approcha d'un poêle, que je n'avais pas remarqué du fait de sa petite taille, et tint la partie métallique au dessus.
Qu'allait-il faire ? Comme si je n'avais pas suffisamment souffert ! Lorsqu'il revint, l'objet métallique a main nue. Il sourit et, brusquement, plaça la ferraille BRÛLANTE sous mon menton, la ou la peau me faisait défaut ! Vous n'imaginez pas qu'une telle souffrance puisse arriver ! Je hurlais, je pleurais, je n'avais qu'une envie : mourir ! Maintenant ! Sans aucune autre souffrance. Je voulais périr de ce coup !
Mais le sort, autant que cet homme, n'en avait pas fini avec moi.
_Tu comprends, Jam, ce n'est pas que je n'ai pas le choix, c'est que j'aime ça !
Alors la, je suis choquée ! Et il espère que je le comprenne ?! Il est fou ! Complètement !
_ Accroche toi, murmura une petite voix : le jeune esclave. C'est la dernière épreuve...
Épreuve ? Comment ça ? Je ne pouvais plus parler, la douleur était trop forte... Je ne vis pas ce que l'homme prit dans sa main... Et, a la première douleur me transperçant la mâchoire, je perdis connaissances...